L’offre de bovins de boucherie est tout juste suffisante
Les disponibilités de réformes laitières se replient. Les industriels ont accordé quelques hausses de prix cette semaine pour renforcer les sorties. La concurrence entre les abattoirs se met en place pour assurer les volumes.
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Les vaches prim’holsteins P= 2 et 3 convenables se valorisent entre 4,00 et 4,25 €/kg de carcasse (kgc). Les tarifs montent à 4,25, voire 4,30 €/kgc pour les P+/O– lourdes. Quant aux P–, la valorisation est surtout conditionnée par le poids des animaux. Elle est comprise entre 2,80 et 3,50 €/kgc.
Les prix des normandes et des montbéliardes convenables R– se situent dans une fourchette allant de 4,65 à 4,75 €/kgc. Les vaches P+ et O se vendent entre 4,20 et 4,60 €/kgc. Les vaches maigres taries sont de plus en plus recherchées pour l’engraissement.
L’activité commerciale est également très fluide pour les charolaises viandées (R+/U–). Les tarifs sont compris entre 5,55 et 5,70 €/kgc à Cholet, Bourg-en-Bresse et Saint-Christophe-en-Brionnais. Les vaches R= se vendent en moyenne à 5,50 €/kgc sur l’ensemble des marchés. Pour leur part, les prix des sujets R– et les O progressent doucement entre 4,80 et 5,20 €/kgc en fonction du poids.
Les prix des jeunes bovins continuent leur progression, sur un marché européen déficitaire.
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